Histoire virus

he ben voila!

tu t'crois malin?

j'ai trouver le tome 1 de virus genial spartan108!
sa ressemble a halo mais c'est tout de meme genial!

Je suis bien d'accord avec toi, d'allieurs ce qui serait bien se serait qu'il soit sur le forum, et aussi en avoir un exemplaire chez moi!

au fait spartan_108 faudra pas oublié de publier ton livre "virus" hein? the thing l'a fait lui!

Oui c'est vrai,on l'attend Virus!

je sais que "travailler", c'est pas ton truc, mais faut faire des trucs de temps en temps! (au fait t'es vachement en retard niveau message)!

he super_louis, quand tu aura mit risk sur le forum on verra ok?

grrr... quand je l'aurai mis tu n'aura plus rien contre moi!!!

les mechant on tojours une faille(tu travaille pour l'i-sdf japonaise hein?)

sûrement pas!

Pfff super_louis dit pas à spartan qu'il est en retard niveau messages,car toi tu l'est encore plus sur mon Forum.

oui mais je te signale que tu me le dis tout le temps! j'tai cassé!

Tu sait pas casser!

pour une fois cette une bonne casse super_louis!

tu t'en prend plien la gueule flamme!

Tu a double-posté!

Et pusi je me'n fous qu'on me casse ou pas...

vaut mieux pour toi! j'tai cassé , mais sinon vous avez remarqué? on en est à la troisieme page d'un sujet!

J'en ai rien à battre qu'on soit à la troisième page d'un sujet...Casse!

Bon, ici le modérateur qui parle, arrêter de dire des connerie !! ce topic est pas fait pour ça, si vous voulez dire nimporte quoi super_louis ( ) n'a qua faire un bar ou un topic de flood.

Bon, voilà mon virus, puis suivra le 2 et ptet bien le début du 3 (j'ai trouver de nouvelles idées !! )

Introduction

Tout commença durant l’été 2028, quand il y eu un problème dans un laboratoire militaire. Un Virus s’en échappa et tua une grande partie de la population. Seul un groupe de 10 militaires semble s’en être sortit en se cachant dans des souterrains où ils se sont mis à l’abris du Virus.

Chapitre I
Dans les souterrains

« Hé ! Les gars ! On a plus de provision !
- Merde ! Cette fois-ci, on est belle et bien foutu !
- Mais non, il doit bien y avoir des provisions quelque part ?!
- Je te rappelle que ça fait presque un an qu’on est dans ces souterrains, dit John calmement. »
John était un capitaine autre fois et il est toujours d’ailleurs. Mais depuis que le Virus a envahit la Terre, la survie est difficile, tous s’entraide sans donner d’ordre.
« Je crois qu’on a plus le choix, nous devons sortir et essayer de trouver de la nourriture et avec un peu de chance, on tombera sur des survivants.
- OK ! Moi je suis partant !
- Moi aussi ! dirent tous les autres soldats en même temps.
- Bon, puisque tout le monde est d’accord, préparez-vous. Prenez une trousse de premier secours, des armes et des munitions. On ne sait jamais sur quoi on peut tomber.



Chapitre 2
La sortie

Ils sont prêts ! John passa en revu ses compagnons et dit à l’un d’eux de se poster prêt de la porte et de l’ouvrir dès qu’il lui dirait. Ensuite il demanda à 2 soldats de se mettre plus en arrière et les autre en face de la porte comme lui avec les armes chargées et armées au cas où il y aurait une quelconque menace.
« Ouvre la porte, dit John. »
La porte s’ouvrie et laissa place un décor vide. Comme si il n’y avait plus aucune forme de vie, tout était calme et silencieux. Il n’y avait que le souffle du vent frais et un beau soleil. Les soldats sortir petit à petit, content de retrouver l’ai libre. Mais soudain, une créature mi-homme mi-monstre au visage pâle et déformé s’approcha d’eux d’une façon pas normal, et leur tira dessus sans viser.
« 9a doit être l’effet du Virus ! Abattez-le les gars ! »
Ils tirèrent 3 balles et la créature s’effondra.
« Au moins, on sait ce que le Virus nous réserve.
- Bon, on va ou maintenant ?
- On devrait aller voir dans une autre base militaire. Peut-être que d’autre personnes on survécu.
- Venez allons chercher une jeep, dit John. Mais faite attention, il se peut que nous tombions sur d’autre de ces créatures. »
En arrivant dans le hangar où étaient stocké les jeeps, ils ne rencontrèrent personne.
- Il nous faut du carburant et des munitions pour la mitrailleuse lourde. Vous deux, allez chercher ce qu’il faut ! dit John.
- Oui chef !
- OK chef ! »
Pendant que les 2 soldats allaient chercher ce que John avait demandé, le capitaine vérifia le moteur et l’équipement de la jeep. Soudain, il entendit un cri. Il se précipita vers l’endroit où les deux soldats étaient partis et cria :
« Qu’est-ce qui se passe ?!
- Il y a deux créatures chef !
- Eh bien ! Qu’est-ce que vous attendez pour les descendre ?! cria John. »
Mais pendant qu’ils pénétraient dans la salle, John se rendit conte que la salle dans laquelle ils se trouvaient était remplie d’explosif et de carburant.
« Ne tirez pas ! Cria John. Mais trop tard, l’un des soldats avait criblé de balle les deux créatures. Il se retourna cribler de gouttes de sang des créatures.
- Ca va ? Demanda John. Au soldat qui était devenu tout pâle.
- Je ne me sens pas très bien lui dit-il.
- Bon, calme-toi et va te reposer. Venez prendre des munitions vous autres ! »
Mais pendant qu’ils s’occupaient du matériel, le soldat qui avait tué la créature, devint encore plus pâle qu’avant et il sentit une étrange sensation. Sans se contrôler, il prit son fling et tira sur un de ses coéquipiers. Il le toucha et le soldat qui cria de douleur en tenant son épaule. John qui avait entendu les coups de feu, accourus et piqua le pistolet du soldat. John en était sur, le soldat avait été contaminé par le sang de la créature. Il n’y avait qu’un seul remède. Lui tirer une balle dans la tête.



Chapitre 3
En route vers Brest

Les pneus crissèrent sur la route chauffée par ce soleil d’été. Ils étaient partis avec 3 jeeps. Chacune pouvant accueillir trois personnes, un conducteur, un passager et un autre avec une mitrailleuse fixer à l’arrière de la jeep. Les soldats se sont équipé de grenades, de fusil d’assauts MA5B et avaient mis un lance rocket dans chaque jeep. Ils sont prêt à faire face à toutes les menaces possibles et sont en route vers une base militaire située près de Brest. Pour l’instant ils roulent sur une route désertique ne donnant aucun signe de vie.
« Préparez-vous les gars ! On arrive dans une ville. »
Ils arrivèrent et passèrent lentement dans la ville, cherchant tout signe de vie.
« Regardez si vous ne trouvé pas un magasin dans les allant tours, dit John, on y trouvera peut-être de la nourriture surgelée. »
John conduisit la jeep près d’un magasin qu’un soldat avait aperçu et s’arrêta.
« Bon ! Ceux avec les mitrailleuses lourdes, vous gardez les jeeps. Les autres, vous venez avec moi ! »
Les soldats qui n’avaient pas une mitrailleuse lourde descendirent des jeeps et se regroupèrent autour de John.
« Quand on sera dans le magasin, restez groupés. Vous deux, couvrez nos arrières. Les autres, prenez un maximum de choses qui ne vous parait pas pourri ou qui n’est pas congelé. Allez, on y va ! »
Ils entrèrent deux par deux lentement et silencieusement. Le magasin paraissait vide pour le moment. Ils passèrent des les rayons tout en restant groupé et prirent quelques boites de conservent qu’ils mirent dans leur sacoches. Ils arrivèrent à un croisement de plusieurs rayons et là, ils virent 10, 15, 20 créatures mutilées sans armes. John cria :
« Tirons-nous d’ici ! Vite ! »
Puis ils entendirent les tires de mitrailleuses lourdes. Les soldats arrivèrent aux jeep, montèrent dedans et démarrèrent à font de train. Les créatures sortants de partout arrêtèrent leur poursuite et un des soldats cria :
« Mais qu’est-ce que vous nous voulez à la fin ?!
- Ce virus les rends agressif apparemment et il se transmet par le sang à mon avis. Tirez-leur dessus de loin et ne les approchez surtout pas. »
Puis, ils continuèrent leur route vers Brest en ne rencontrant que des voitures sur la route pour la plupart vide sauf une qui se mis à les poursuivre mais fut vite arrêtée par un tire de mitrailleuse. John alluma la radio mais ne reçu aucun signal. Ils passèrent dans plusieurs ville qui paraissaient pratiquement déserte.
« Enfin ! Nous voilà enfin à Brest.
Tourne à gauche, c’est là que se trouve la base militaire dit John. »
Quand ils arrivèrent tout était calme. Les soldats descendirent des jeep près d’une entrée qui allait sous terre.
« Les hommes aux mitrailleuses lourdes reste une fois de plus ici ! Les autre venez avec moi ! »
John frappa à la porte en espérant que quelqu’un lui réponde, mais il n’y eu rien.
« Vous deux, dit John en désignant deux soldats, placez des explosifs sur cette porte et faite-là sauter ! »
Les deux soldats se mirent immédiatement au travail. En 2 minutes, les explosifs étaient près.
« Ok ! Placez-vous loin devant la porte, près à tirer et faite-là exploser ! »
Les soldats se mirent en place, puis l’un d’eux appuya sur le détonateur et al porte explosa. De la poussière et des bouts de métal furent projeté dans les airs. Il fallu un peu de temps avant que les soldats puissent y voir quelque chose. Petit à petit, on pouvait voir des portes et des croisement de plusieurs autre couloirs. Les soldats commencèrent à avancer à petit pas.
« D’abord, trouvons un endroit avec une porte blindée ou quelque chose comme ça où des survivants auraient pu se protéger. »
John fit 2 groupes de trois soldats et chaque groupe partit dans une direction.
A plusieurs reprises, les soldats firent face à des créatures qui ne leur posa pas de problèmes particuliers.
« Hé ! Regardez ! cria un soldat. »
Ils se trouvèrent Ils se trouvèrent devant une dizaines de créatures morte et criblées de balles en face d’une porte blindée.
« Prévenez l’autre groupe par radio qu’on pense avoir trouvé ce que l’on cherchait et de se ramener iléco. Dit John. Maintenant, posez-moi une charge sur cette porte ! »
Deux soldats posèrent les explosifs, s’éloignèrent et appuyèrent sur le détonateur. Les explosifs firent sauter les gons. Les soldats s’approchèrent et regardèrent à l’intérieur. Ils y avait encore des créatures mortes.
« Ces hommes ont du être contaminés lors de leur rencontre avec les autres créatures. Allons-nous en. Mais avant, voyez s’il n’y a pas de la nourriture à récupérer dans les autre salles. »
Les soldats s’éparpillèrent dans toutes les directions tout en restant vigilant. Quand ils eurent finit , ils revinrent au coté de John.
« Il n’y a que de la nourriture pourri dans ce que nous avons trouvé.
- D’accord, répondit John, retournez aux jeep.
- C’est vraiment de la merde ici ! »
Les jeep firent le plain de carburant et s’en allèrent vers le port.
« Attention, il y a plus de gens à Brest. Ca risque d’être moins calme, dit John. »
Ils entrèrent dans la ville mais il n’y eu personne. Puis soudain, une quarantaine de créatures leur foncèrent dessus.
« A, ben zut alors, des créatures ! »
Les mitrailleuses se mirent à cracher des balles centaines de balles faisant tomber les morts vivants les uns après les autres.
John cria :
« Feu à volonté ! Il ne faut pas qu’ils s’approche de nous ! »
Une fois la route bien dégagée, les jeep partirent à font vers le port. Ils s’arrêtèrent 2 secondes le temps de respirer et un soldat cria :
« Regardez ! Un bateau ! »



Chapitre 4 : Les survivants

Peu de temps après, les soldats avaient embarqué dans 2 petit bateaux prenant soins d’emporter armes et munitions, puis ils se mirent en route vers le navire qu’ils avaient vue. Arrivé près de celui-ci, un soldat cria :
« Oh Eh ! Il y a quelqu’un ?! »
Au même moment un homme se pencha et demanda :
« Qui êtes-vous ?!
- Nous sommes des survivants !
- J’avais remarqué, merci !
- Vous pouvez nous aider ?
- Attendez une seconde. »
Et l’homme disparut. Après une ou deux minute, il réapparut mais avec au moins 30 hommes. John vit leur uniforme, c’était des Marins.
« Accrochez-vous à la corde, cria le Marine, nous allons vous remonter ! »
Arrivé en haut, un marine leur demanda de le suivre jusqu’au Capitaine du navire. Ils entrèrent dans une petite salle et le marine les laissa. Une minute après, un homme au crane rasé entra et se présenta :
« Bonjour ! Je suis le capitaine Homer. Et c’est moi qui dirige ce navire.
- Moi, je m’appelle John et je suis le capitaine de cette section. Nous venons d’une base militaire que nous avons quittée faute de nourriture.
- Ok ! dit Homer, vous pouvez restez ici. Mais demain, vous viendrez avec nous pour une mission que j’ai préparé moi-même.
- Et en quoi elle consiste ? demanda John.
- Elle consiste à aller en Arctique pour trouver un anti-virus. Mais pour y aller, il va falloir un autre moyen de transport. Ce navire ne percera pas la glace. Il faudrait trouver un avion ou un Hélico. Pour l’instant, mangez et reposez-vous. »
Le lendemain matin, John se réveilla, prit un café qu’il trouva dégueulasse et alla rejoindre Homer.
« Bonjour John. Vous avez bien dormi ?
-Non, vos lits, c’est de la merde. J’ai réfléchis à la mission que vous voulez accomplir.
-Ouais mais le problème, c’est que je sais pas ou trouver un hélico ou un avion. On a déjà cherché dans la base de Brest mais tout était pété.
Dans ma base, je crois qu’il y a ce qu’il faut.
-Vous avez des appareil ? De quel genre ?
-On a des hélico X360, 2 avec des réservoirs WD40 et des lances roquettes RCM avec système infrarouge et auto guidage laser que le gars que tu vise est déjà mort avant d’avoir tiré.
-Pas mal. Moi aussi j’avais des réservoirs WD40, mais le problème c’était que j’avais encore les hélico X340.
-C’est pas fiable ces hélico. Que je pense que le X370 allait bientôt sortir !
-Pour se protéger durant le mission j’ai des combinaisons spéciales et chofante.
-Avec 30 degré à l’ombre, je crois pas qu’on en aura besoin !
-Tu sera bien content de l’avoir ta combinaison quand on sera en Arctique.

-J’avais oublié qu’on allais là-bas.
-Allez préparez votre combinaison avec vos hommes.
-Ok ! répondit John.
-Je veux que vous soyez près avec vos hommes dans 5 minutes !
-Je serais près quand j’en aurais envie d’abord ! Vous allez pas me donner des ordres comme même ! »
6 minutes plus tard :
« Nous sommes près ! dit John à Homer.
-Vous êtes en retard d’une minute !
-Je m’en fiche !
-Petit polisson ! Allez, on descend des les barques ! dit Homer . »
-J’ai peur des bateaux et des vagues !
-Tu descend ou je te tape !
-D’accord ! »
Une fois tout les hommes étaient descendu dans les barques, ils se dirigèrent vers le port. Là bas, il y avait les 3 jeep qu’avaient laissé les soldats. Les soldats prirent les jeep et les Marines montèrent dans des voitures qui étaient garées sur un parking. Quand soudain, un groupe de créature arrivèrent.
« Merde ! Il y a des créatures qui se ramènent et qui ont des armes !
-Zut alors !
-Feu ! cria John »
Les Marines ouvrirent le feu. Une des créature qui avait un pistolet se pris une balle dans la poitrine et tombas à terre.
« Tu croyait pouvoir m’avoir ?! Putain elle se relève !! »
Et la créature se pris 2 balles dans la tête et ne se releva plus. Ensuite les Marins se replièrent parce que les créatures devenaient de plus en plus nombreuse. Puis les mitrailleuses lourdes s’occupèrent du reste.
« Ces combinaisons sont très efficace, dit John à Homer. »
Les soldats s’en allèrent en jeep suivis des Marines qui étaient en voiture.
Arrivé là-bas, les gars aux mitrailleuses lourdes se tinrent près à tirer et les marines mirent leur fusil aux fenêtres des voitures. Des créatures arrivèrent, mais cette fois-ci, ils étaient tous armés mais heureusement ne savaient pas tirer, ce qui fait qu’ils tiraient dans tous les sens tout en se faisant criblé de balles. Malgré les mauvais tir des créatures, certaines balles qu’ils tiraient atteignaient leur cible. Résultat, 2 soldats furent blessé mais rien de grave si on ne compte pas que l’un n’as plus la main droite et que l’autre ne peux plus se servirent de son bras gauche. Une fois l’acharnement terminé, et que toutes les créatures étaient belle et bien parterre, ils se dirigèrent vers les hangars aux hélicoptères.
Pendant que les marines montaient la garde à l’extérieure, les soldats entrèrent dans le un hangar et inspectèrent les hélico.







Chapitre 5 : Décollage !!

Les hélico TDT sont près. Ces hélico peuvent transporter une dizaine d’homme et peuvent voler sur une très longue distance. Ils les avaient remplit de munitions et d’essence puis les avaient sortit des hangars.
« On a un problème, dit John à Homer, j’espère que vos hommes savent piloter ces appareilles, parce que les mien sont pas doué pour ce genre de trucs.
-Ne vous en faite pas, j’ai des pilotes qui serons capable de piloter ses engins, je vais es chercher, pendant ce temps là faites monter vos hommes dans les hélico. »
John alla voir ses hommes et leur dit de monter dans les hélico puis alla rejoindre Homer dans un autre hélico.
Ils décollèrent et s’en allèrent vers l’Arctique.
2 heurs plus tard :
« C’est bizarre ! Nous allons manquer se carburant, dit le pilote de l’hélico où se trouvaient John et Homer.
-Quoi ?!!cria Homer, nous avons fais le pleins avant de partir ! Ca peut pas être déjà vide ?!
-Il doit y avoir une fuite !
-Et évidemment, personne n’a eu l’idée intelligente de vérifier les réservoirs avant de partir ?!
-Vous nous l’avait pas demandé.
-Putain de merde !
-On va devoir faire un détour sur l’une des base en Australie !
-T’es con ou quoi ? Tu veux nous faire faire tout le tour de la terre ?! Ils faut aller en Russie, dit un autre soldat.
Et ouis quoi encore ?!, dit John, Mais quelle bande de naze ! Le Groenland est le continent le plus proche ! On va y aller ! En plus, je connais une base militaire là-bas » Et il donna les coordonnées de celle-ci grâce à une carte au pilote qui envoya un bref message aux autre pilotes pas radio qui répondirent d’un simple OK.
« Ca fait presque une heure qu’on vole ! Ca devient chian ! C’est quand qu’on est arrivé ?! demande Homer
-Ouais mais on va bientôt être à sec ; »
Une secousse se fit sentir et un soldat cria :
« Qu’est ce qui se passe ?!
-Calme toi, voyons, on est juste à sec ! dit le pilote.
-Autant dire q’on est dans la merde !
-Exactement ! Préparez-vous à un crash ! »
Homer pris vite la radio et dit :
« Nous allons nous écraser, vous devez à la base la plus proche et la sécuriser ensui….. »
s’enfonça dans la forêt.






Chapitre 6 : Aux Groenland

« Tout le monde va bien ? Y a-t-il des blessé ?
-Le pilote est mort ainsi qu’un autre soldat, répondit John. Vite, sortons ! »
Les soldats sortirent de l’appareil et Homer leur ordonna de se placer autour del’hélico pour le surveiller. Pendant ce temps, John essaya de contacter les pilotes des autre hélico mais la radio avait été endommagée. Il sortit une carte et essaya de savoir ou ils étaient et à environ combien de kilomètre de la base.
« C’est bizarre cette forêt, elle n’était pas là il y a quelques années !
- Vous pensez savoir ou nous sommes ? demanda Homer.
-Nous devions aller à cette base, dit John en montrant un endroit sur la carte. Et nous nous sommes écrasé dans ces environs, dit-il en montrant un autre endroit sur la carte. Donc il faut aller vers l’Est.
-OK ! dit Homer » et il alla voir les Marines pour les informer de la situation.

*
Les autre hélico arrivèrent sur la base quelques minutes après. Les soldats descendirent des appareilles, descendirent des plate formes sur lesquelles ils avaient atterris et se retrouvèrent nez à nez avec des créatures. Les Marins et les soldats ouvrirent le feu. Les créatures tombèrent et se relevèrent comme d’habitude.
« C’est chien, je commence à me lasser ! Continuez sans moi, je vais boire un cou.
-C’est vrai que c’est chiant à force, dit un autre soldat, il ne pourraient pas se relever avant de tomber au lieu de tomber et de se relever après ?! »
Une fois que toutes les créatures étaient tombé une fois pour toute, les soldats se divisèrent en plusieurs groupes et se dispersèrent dans la base en tuent toutes les créatures qui se mettaient en travers de leur chemin.
« Mais pourquoi tu n’arrête pas de lui tirer dans la gueule !
- C’est parce que il m’à fais chier et que je veux être sur qu’il est mort.
- Mais oui, il est mort !
- Je ne suis pas sur !
- Il a le crane défoncé, tu crois vraiment qu’il va se relever ?!
- On ne sais jamais.
- Crétain !
- Crétain toi-même !
- Arrêtez de vous disputer tout les deux, et venez nous aider à retrouver les autre !
- C’est lui qui a commencer !
- Ta gueule !
Maintenant la base sécurisée, un groupe de soldat partirent dans la forêt rechercher des survivants pendant que des hommes faisait le pleins des hélico et les protégeait.
« Restez groupé et ne tirez qui si vous êtes sur que c’est une créature.
-Tu as raison, il vaut mieux attendre de se prendre une balle dans la gueule avant de tirer. » et ils s’enfoncèrent dans la forêt.
*
Pendant ce temps, John et Homer menait la troupe à travers la forêt. Ils avançaient dans la forêt humide et plein de moustiques sans s’arrêter. Mais aucune créatures pour l’instant. Quand soudain, elles arrivèrent de partout. Les soldats tirèrent et firent tomber et retomber les créatures.
« Regardez ! Il y en a qui on des armes !
-On s’en fout, ils ne savent pas tirer ! Aie !! Putain j’ai été touché !
-Je t’avais prévenu ! Soigne-toi, je te couvre.
-C’est bon, je crois qu’elles sont toute morte. Continuons. »
Ils continuèrent leur marche et arrivèrent dans un champ.
« Et merde ! Il y a encore des créatures ! Feu à volonté !
-Regardez ! Ils ont des petites fourches ! Bande de naze ! Zut, ils ont aussi des armes. »
Une fois la bataille terminée, John demanda :
« Vous êtes près à repartir ?
-Non, répondit un soldat.
-Et pourquoi non ?
-Parce que je suis blaissé.
-Oui et bien ?
-Je ne peut plus marcher.
-Et bien soigne-toi.
-Il n’y a plus de pansements.
-Et bien trouve une autre solution.
-Je trouve pas d’autre solution.
-Putain, tu fais chier ! T’à qu’à demander à quelqu’un de te porter !
-Quelqu’un peut me porter ? mais personne ne leva la main.
-On a qu’à le laisser ici, proposa un soldat.
-NON !!!!
-D’accord, je vais te traîner par terre. » Ils repartirent dans la forêt.
*
« Hé ! Caporal ! Les soldats commence à se fatiguer
-Oh ! Reposez-vous bande de fainéants ! dit le caporal, 10 minutes qu’on marche et ils sont déjà fatigué !
-Ca fait presque 1 heure 30 qu’on marche dans la forêt.
-A bon ?! Je ne vois pas le temps passer.
-Vous avez de la chance, moi je m’emmerde !
-Vous deux, dit la caporale en désignant 2 hommes, allez chercher une rivière et rapportez de l’eau. »
Les 2 soldats partirent chercher une rivière.
2 minutes plus tard :
« Alors ? Vous avez trouvé une rivière ?
-Oui !
-Et vous avez remplit les gourde ?
-Non !

-Et pourquoi ça ?!
-Parce que c’est imbécile avait oublié de prendre les gourdes !
-Imbécile toi-même d’abord ! Et puis toi aussi tu aurais pu y penser !
-Taisez-vous ! Et allez chercher de l’eau sans oublier les gourdes cette fois-ci. »
Les soldats repartirent de plus belle avec les gourdes. Arrivé à la rivière, l’un des soldats pris l’une des gourde et la remplit. Quand soudain, le soldat cria :
« Attention ! Ils attaquent ! » Et il tira sur les créatures pendant que l’autre essayait en vint de fermer sa gourde.
« Grouille-toi, c’est dure de les retenir !
-C’est cette putain de gourde qui veut pas se fermer ! Ah ça y est ! On se tire !
-NoN ! Ils nous encercle ! »
Les deux soldats se mirent dos à dos et tirèrent sur les créatures qui arrivaient de partout en tirant des rafales naporte où. Elles tombaient et retombaient sans arrêt.
Attiré par les coups de feu, le reste de la troupe partirent en courant en direction des deux soldats. Ils arrivèrent par derrière certaine créature qu’ils criblèrent de balles. Un Marins cria :
« Il y en a un qui a un lance-rocket !
-C’est pas grave, il le tient à l’envers ce con !
-Oui mais il y en a un autre qui le tient pas à l’envers !
-Oh Oh !! Tuez-le avant qu’ils nous explose ! Ils tirèrent sur la créature qui tombas à terre. La rocket partit dans les aire.
-Ouf ! On la échappé belle ! Mais quelque seconde plus tard, la rocket tombas à 3 mètres de l’endroit où ils se trouvaient et les fit tousse tomber.
-C’est quoi ce bordelle !
-La rocket est retombée. Tu croyais quoi ? Qu’elle allait rester là haut ?!
-Dites, le combat n’est pas encore terminé !
-Ah oui, j’avais oublié. Je rêve où il y a encore une créature avec un lance-rocket ?!
-Non, tu ne rêve pas ! »
La créature tira, la rocket fendit l’air et alla s’écraser sur un arbre qui explosa mais ne toucha personne.
« Heureusement qu’ils ne savent pas viser , dit le Caporal. »
Les soldats s’accroupirent épuisé et tirèrent de plus belle. L’une des créature lança une grenade.
« Mais c’est pas vrai ?! Ils savent lancer des grenades maintenant ?!!
-On s’en fou, ils les envoie pas assez loin et s’explosent eux-même. »
-Moi, au moins, je sais lancer une grenade ! et il lança la grenade qui explosa plusieurs créatures ou du moins ce qu’il es restait fut projeté dans les air. Les deux créatures restante furent tué, puis le caporal dit :
« Nous allons retourner sur le sentier où nous étions et ensuite nous repartirons. Mais avant, remplissez tous vos gourdes. »
*
A deux reprise, la troupe de John et de Homer avaient rencontré des créatures et avaient vite dégagé la route. Mais là, ils étaient confronté à un plus gros problème : une trentaine de créatures qui étaient arrivées de partout. Les balles arrivaient de partout comme les créatures qui tombaient sans cessent. L’une d’elle arriva avec un lance-rocket. La créature appuya sur la détente et la rocket partie et alla s’écrasée en formant un cratère et en faisant voltiger deux soldats. L’un d’eux fut tué sur le coup et l’autre avait la combinaison déchiquetée. Une créature arriva derrière lui et le frappa dans le dos. John avait vue ce qui c’était passé et vit que la créature ne refrappa pas le soldat et compris qu’il avait été contaminé. Il tira deux balle dans la créature et dans le soldats contaminé. Après une bataille acharnée de 2 minutes, ils reprirent leur route.
Un quart d’heure plus tard ils n’avaient toujours pas rencontré de créatures, quand ils entendirent des coups de feu plus loin.
Ils se précipitèrent à travers les broussailles en direction des tires. En 1 minute, ils étaient arrivé sur les lieux. Le caporal et son groupe étaient encerclé par des créatures armées jusqu’aux dents. Les balles arrivaient de partout, des grenades faisaient exploser des groupes entiers de créatures mais elles ne cessaient d’arriver. Sans réfléchir, Homer, John et les autre soldats foncèrent et tirèrent dans le tas de créatures qu’il y avaient devant eux en lançant des grenades qui faisaient exploser 5 ou 6 créatures à chaque fois. La bataille fut acharnée à cause du nombre de créatures. Deux soldats trouvèrent la mort, les munitions commençaient à manquer et une odeur infecte se fit sentire. Les soldats commencèrent à battre en retraite.
Quand ils arrivèrent à la base en courant, ils croyaient les avoir semé mais les soldats qui étaient resté avec les hélico se défendaient contre une dizaine de créatures. John dit aux pilotes de mettre en route les hélico pendant que le reste des soldats les défendaient.

Chapitre 7
La base scientifique

Ils ont eux du mal à partir. Il y a eu beaucoup de blessés et quelques morts. Par chance ils ont pu prendre des munitions et du carburant en repoussant assez loin les créatures. Mais ils sont partis et sont en vole pour l’Arctique. Heureusement qu’ils ont pu ces hélico car ils sont spécialement conçu pour les grands voyages et le transport de troupes. 3 heures après, ils passaient au dessus de la glace et il faisaient de plus en plus froid.
« Hé ! Homer !, dit John en criant à cause du bruit des hélices qu’ils doivent supporter depuis plusieurs heures, elle se trouve où votre base ?
-Elle est plus vers l’Est, dit Homer, on devrait y être dans un quart d’heure. »
Un quart d’heure plus tard, ils arrivèrent dans la base scientifique. Il y avaient un petit vent froid et quelques flocons mais rien d’embêtant.
« Où les pilotes vont-ils nous poser, demanda John à Homer.
-Je leur ai dit de nous déposer devant l’entrée. Ensuite, ils irons se poser sur une aire d’atterrissage avec 4 hommes pour les protéger.
-Préparez-vous pour l’atterrissage, dit le pilote. »
Les soldats descendirent ainsi que John et Homer, et partirent en direction d’une porte blindée qui menait à l’intérieur de la base.
« Caporal ! dit Homer, vous avez les explosifs que je vous ai demandé ?!
-Non chef !
-Pourquoi ?!
-Parce que je les ais oublié, chef !
-Et bien qu’est ce que tu attend pour aller les chercher ?! »
Le soldats retourna dans l’helico qui n’était pas encore partit et revint avec les explosifs qu’il mis sur la porte. Pendant ce temps là John demanda à Homer :
« Qu’est ce qu’on est censé trouver exactement ?
-Je connais un scientifique qui pourrait fabriquer un anti-Virus. »
En effet, John avait entendu parlé de ce scientifique et il a de la chance que le Virus n’a pas atteint cet endroit. Donc il doit être vivant. Sauf si il y a en fait plein de créature dans cette base souterraines ou alors il est mort de faims, ou mort de vieillesse.
Après que le soldat ai posé l’explosif, il attendit l’ordre de Homer pour appuyer sur le détonateur.
« Allez-y, dit Homer. » Et le soldat déclencha la bombe. Les gons explosèrent et la lourde porte tomba par terre. Les soldats entrèrent petit à petit dans un escalier qui descendait dans le noir. Plusieurs soldats sortirent leur lampes de poches qui éclaira le long couloir dans lequel il y avait des croisement entre plusieurs couloirs et des portes mais aucun signes de vie. Ils se mirent en marche prudemment, les armes pointées dans le noir près à tirer.

Chapitre 8 : Dans les couloirs
De la base scientifique

Ils arrivèrent à une première porte, l’ouvrirent et rentrèrent à l’intérieur. L’un des soldats alluma la lumière et là ils virent une salle vide remplit d’ordinateurs.
« Cherchez dans la salle si il n’y aurait pas des trucs utiles, ordonna John. »
Les soldats se dispersèrent dans la salle et l’un d’eux se mit à un ordinateur et l’alluma.
« Tient, il y a peut-être des trucs intéressants dedans . C’est quoi cet icône « porte » ici ? »
Il cliqua sur l’icône et une voix sortie des enceintes :
« Porte sécurisées ouvertes.
-Mais putain, qu’est ce que tu fou ? demanda John.
-J’ai réussi à déverrouiller les portes sécurisées !
-Mais c’est que t’es fort en informatique toi ! dit un soldat.
-Bien non, j’ai seulement vu un icône porte et j’ai cliqué dessus.
-Mais t’es vraiment con ! T’as jamais touché à un ordi et tu trafique tout sans rien y connaître ?!
-Pardon capitaine. Je recommencerais plus.
-Tu mériterais d’être punis. Tir-toi de l’ordi, je m’en occupe !
-OK !
-Y a que dal sur cet ordi ! On se tire ! »
Ils sortirent de la salle et arrivèrent à un croisement.
« A droite !
-A gauche !
-Tout droit !
-En arrière !
-On va tout droit ! décida john.
-J’ai pas envie, trépigna un soldat.
-ta gueule, on va à droite. »
Tendis qu’ils avançais dans le couloir, un soldat s’arrêta et dit :
« Vous ne trouvez pas qu’il y a une drôle d’odeur ?
-Evidament, ça doit être l’autre dégueulasse qui a pété !
-Ta gueule !
-Non, là c’est pas la même odeur.
-ATTENTION ! cria un autre soldats » Des créatures venaient de sortirent de la peine ombre et se dirigeaient vers eux mais sans armes. Les soldats tirèrent aussitôt et les criblèrent de balles.
« Crève !
-Saloperie ! Il y en a une qui a tachée ma combinaison !
-Zut ! Ma mitraillette ne marche plus ! Ca fait chier !
-Peut-être que si tu appuyais sur la détente, ça marcherais mieux !
-Andouille ! Elle est enrôlée, c’est tout ! »
Après avoir tué les 5 créatures qui se relevaient 2 fois avant de rester par terre, ils continuèrent leur route, ou plutôt leur couloir.
2 Minutes plus tard, ils entrèrent dans une salle remplit de microscopes et de tubes à essais plein de poussières et avec des produit bizarre dedans.
« Sortez ! On ne sait pas ce qu’il y a dans ces flacons, c’est peut être dangereux ! dit John.
-Mais non ! Tu dis n’importe quoi !
-C’est moi qui commande alors tu rentre pas ou je vais me facher !
-Laisse-le se tuer la dedans, il ne nous embêtera plus !
-OK ! OK ! J’y vais pas. Mais c’est rien que pour te faire chier !
-Crétain !
-Allez, on continu, dit John.
-Il y a une double porte après, dit un soldat qui était parti plus loin en repérage.
-Eh bien voyons ce qu’il y a derrière cette double porte ! »
Ils ouvrirent les portes, et là un troupeau d’une cinquantaine de créatures foncèrent sur les soldats qui refermèrent immédiatement les portes.
« Putain, ! C’est quoi ce bordel ?!
-Comment on va tuer toutes ces saloperies ?!
-Une grenade dans la gueule de chaque une, une rocket dans le tas et on en reparle plus !
-Et si repartait et qu’on utilisait un autre chemin ?
-Et si on repartait et qu’on utilisait un autre chemin ?
-AH ! T’as peur ?!
-Non, c’est seulement que je ne vois pas pourquoi on devrait se compliquer la vie ?!
-Il a raison pour une fois ! Et puis ils ont des armes et on va se faire écraser, ce serait débile !
-C’est toi qui est débile ! On pourrait pas sauver la planète et être des super héros !
-OK, les gars, on se bar et on prend un autre chemin. »
Ils arrivèrent au croisement et prirent en face dans un couloir avec plusieurs portes.
« Moi, j’ai pas envie d’essayer toutes les portes ! dit un soldat.
-Espèce de féniant ! On va faire 4 groupes, dit John. Maintenant, chaque groupes va aller ouvrir une porte, c’est pas trop compliqué !?
-NoN ! Répondirent les soldats tous en même temps. »
Le groupe de John pénétrât dans une salle remplit d’ordinateurs en vrac et démonté et de microscopes. Soudain, un soldats d’un autre groupe cria et tira avec son arme. John, alerté sortit de la salle où il était et couru vers celle d’où provenaient les coups de feux.
« Il y a un problème ?! Qu’est ce qui se passe ?!
-J’ai cru voir une créature !
-Allume la lumière imbécile ! Regarde c’est rien qu’une salle avec un squelette en plastique qui a une balle dans le tête grâce à toi ! »
Après 10 minutes d’ouverture de portes, de cri, de coups de feu et d’engueulades pour rien, la troupe continua sa promenade dans les couloires.
« Je commence vraiment à avoir faim !
-Mais on a mangé il y a 2 heures dans les hélico.
-Ouais mais ça fait 2 heures que je me trimbale cette radio de merde sur le dos.
-T’es vraiment débile ! Il n’y a plus que nous sur terre ! A qui veux-tu parler ?
-Merde, j’avais oublié !
-Mais quel con !
-Regardez, il y a des cadavres partout !
-C’est horrible !
-C’est abominable !
-C’est moche !
-J’ai soif !
-Ne touchez pas à ces corps, c’est peut-être contaminé, et toi tu boira plus tard ! Continuons !
-On arrive à une porte ! »
le soldat essaya de l’ouvrir mais n’y arriva pas.
« Il y a un système de sécurité, la porte est bloquée !
-On ne t’a jamais appris à crocheter les portes ?
-Qu’est-ce qu’il dit ?
-Il te demande si t’a appris à défoncer les portes.
-Mais je croyais que tu avais déverrouiller toutes les portes ?
-Bien, ouais, c’est ça le problème ! Quel qu’un s’est surment enfermé à l’intérieur.
-9a ve dire qu’il y a au moins un survivant dans cette base. Faites sauter la porte. Ordonna John. »
Un soldat mi des charges sur la porte et la fit exploser.
« AH ! Une créature !! cria un soldat.
-Où ça ? demanda un autre.
-Non, je rigolais.
-T’es vraiment con !
-Putain, il y en a une !
-Encore une blague, c’est ça ?!
-Mais non, regarde !
-Ah ouai, t’as raison ! » Et ils tirèrent sur la créature. John qui était resté en arrière, accouru en entendant les coups de feu.
« Cessez le feu ! Ca vous amuse tirer dans le noire ?!
-Ouais, répondit bêtement un soldat.
-Mais, c’est seulement qu’il y a une créature !
-Si tu allumais la lumière peut-être que tu serais vraiment si il y a une créature. » Et il alluma la lumière. Devant eux se trouvait un cadavre assis sur une chaise, une arme à la mains.
« J’ai tué un survivant !
-Mais non, il a du crevé de fin en restant enfermé ici pour se protéger des créatures !
-Eh ! Venez voir ! cria un soldat qui avait ouvert une autre porte.
-Oh ! Des armes !
-C’est Noël ! Regardez : 4 pistolets mitrailleurs, 6 fusils d’assauts, une dizaine de pistolets, des grenades, 2 lances rockets et à ben putain !
-Quoi, qu’est ce qu’il a ?
-Le tout nouveau pistolet GSX à plasma !
-Mais il n’est qu’en mode d’expérimentation !
-Donne-le moi ! Je veux l’essayer !
-Mais ! EH ! T’es méchant ! De toute façon t’es trop petit et trop con pour l’essayer !
-Je te le rend dans 2 secondes !
-Super, dit John, prenez ce qu’il vous faut.
-Maintenant , on a ce qu’il faut pour écraser les créatures ! »

Chapitre 9 : Le scientifique

« Bon, vous êtes prêt ?! demanda John.
-Oui, répondirent les soldats.
-OK ! Derrière cette double porte, il y a une salle qui est apparemment la même que celle de tout à l’heure, c'est-à-dire qu’il y a plein de méchants à l’intérieur ! Faite gaffe parce que je n’ais pas envie de crever parce qu’un con as tiré au bazooka là où il ne fallais pas ! Ni parce qu’un autre crétin a jeté une grenade à un centimètre de nous ! Bon, on y va. Foncez dans le ta en tirant droit devant vous sans vous arrêtez. »
Ils ouvrirent les portes et tirèrent droit devant eux. Il y avait au moins 50 créatures. Pus les soldats avançaient, plus le nombre de créatures déchiquetées par les balles et qui tombaient à terre augmentaient. Une grenade explosa et des bouts de créatures tombèrent un peu partout.
« Plus que quelques mètres ! cria John
-Crevez ! cria un autre soldat
-Putain ! Elles arrête pas de se relever !
-Mais bordelle, elle est nulle cette nouvelle arme !
-C’est parce que tu sais pas t’en servir ! Tu aurais du me la donner !
-Tient, prend-là !
-Tu vois pas qu’on est en train de se battre ! Et puis garde-là ton arme de merde !
-Ca y est, on y est arrivé ! dit John en refermant la double porte derrière lui.
-Elles sont vraiment naze ces créatures ! dit un soldat
-Quelle heure est-il ? demanda John.
-Il est presque minuit.
-A cette heure là, je devrais être au li depuis longtemps et lire les aventures de Petit ours Brin en cachette !
-On s’en fout de ta vie !
-En va chercher une salle pour dormir un peu. »
Après une bonne nuit allongée par terre, les soldats se remirent en route.
« Il y a trois chemins. Lequel on prend ? demanda un soldat.
-On va tout droit ! dit un autre soldat
-Non, on devrait aller à droite !
-Pourquoi ?
-Parce que c’est écrit sur la carte !
-Quel carte ?
-Celle que j’ai trouvé dans une des salles.
-T’aurais pas pu nous le dire plutôt ?!
-J’y ais pas pensé. Mais sur la carte, il y a une salle avec marqué laboratoire.
-OK, on y va. »
Un peu plus tard :
« Voilà, on y est. » John essaya d’ouvrir mais n’y arriva pas.
-Et merde ! Elle est fermée ! On a plus qu’à faire demis-tour !
-Mais non, regarde, le soldat tira sur la serrure avec son arme.
-Ca s’ouvre toujours pas ! T’es vraiment naze !
-Moi, au moins j’ai essayé ! Un type a du mettre une barre de fer de l’autre côté. Il suffit de défoncer la porte. »Et il donna un violent coups de pied dedans.
« laissez tomber les gars, je vais le faire. »
Le soldat mi un explosif sur la porte et tout le monde alla se planquer.
Deux secondes plus tard :
« Merde, son plan à marché !
-Allez, on y va, dit John.
-Attention ! cria un soldat » Une silhouette était apparu à travers l’épaisse fumée produit par l’explosion.
« C’est quoi ce bordelle ! dit l’homme.
-Rien, rien ! On se baladaient ! dit un soldat.
-Et vous vous baladez armé jusqu’aux dents avec de dangereuses créatures pouvant vous attaquer à tout moment ?
-C’est à peu près ça, oui.
-Arrête de dit naporte quoi, ordonna John. On vient juste chercher un antidote !
-Dans ce cas-là, j’ais ce qu’il vous faut. Suivez-moi. »
Le vieille homme les emmena dans une salle et prépara le matériel.