Re: Histoire virus

spartan_108 Mar 15 Jan - 22:37

Chapitre 10 : En route pour la solution
Finale

Après être sortit de la base, les soldats partirent en hélicoptère accompagné du scientifique.
« Et où on va maintenant ? demanda un soldat
-Dans une autre base militaire, répondit le scientifique.
-C’est chian ! On pourra arrêter d’aller naporte où après ?!
-Peut être, mais arrête de raller !
-D’accord ! Mais ou qu’elle est cette base ?
-Au Canada.
-Putain ! C’est pas tout près ! Tu préfère aller en Australie ?! Et puis te pleins pas, avec les hélico d’autrefois, on aurait mi 2 heures de plus !
-OK ! OK ! Ca va !
1 heure plus tard :
« Ca y est, on est arrivé !
-A ben c’est pas trop tôt !
-Préparez-vous pour l’atterrissage ! dit le pilote.
-Accroche-toi grand-père !
-ne m’appelle pas comme ça où je vais me facher !
-Ô que j’ai peur !
-Tu vas voir ! Et bam ! il le frappa.
-AAAAHH !!!
-Vous l’avez fais tomber !
-Il avait qu’à pas m’appeler comme ça ! Y m’a cherché et y m’a trouvé ce petit con ! »
Les hélico atterrirent devant les bâtiments et les soldats descendirent.
« On est censé trouver quoi exactement ? demanda un soldat.
-Il vous faut 2 bombes à neutrons, dit le scientifique. Ensuite je vais essayer d’augmenter leur puissance et de mettre l’antidote dedans.
-OK ! On va d’abord chercher les bombes, dit John, Caporal ! Allez prévenir Homer des nouveaux objectifs ! » Allez on y va !
Les soldats descendirent des hélico et entrèrent dans un bâtiment avec un grand hall et des couloirs.
« C’est embêtant ! Pourquoi il y a toujours plein de couloirs sombre ! Ca fout les chtons !
-C’est parce que tu pense jamais à allumer la lumière. Il alla dans un des couloirs et appuya sur un interrupteur. Tu y vois plus claire maintenant ?
-Ca va merci !
-Arrêtez de vous chamailler , dit Homer.
-Ca faisait longtemps qu’on t’avait pas entendu !
-Taisez-vous, j’ai entendu un bruit !
-Une créature ! Feu !
-J’ai peur ! Protégez-moi ! cria le scientifique.
-T’avais qu’a pas venir !
-Rien à foutre ! Sans moi vous pouvez rien faire de toute façon ! Sinon je serais resté chez moi à jouer à Halo 2 sur XBOX !
-On s’en fou de ta vie ! Prend ce flingue !
-Mais je sais pas m’en servir !
-Démmerde-toi !
-Ca y est la créature à finit de se relever ! dit un autre soldat. On peut continuer. »
Ils traversèrent plusieurs couloirs, ouvrirent des portes, tuèrent des créatures qui surgissaient de temps en temps. Et enfin, ils ouvrirent une porte qui donnait sur une salle avec des ordi et des étagères pleine de paperasses.
« Avec un peu de chance on trouvera une carte de cette base.
-Moi, je sens que je vais bien m’amuser avec ces ordi !
-Tu touche à rien !
-Mais pourquoi ?!
-Parce que tu fais toujours des conneries ! »
Plusieurs soldats se mirent à chercher dans les papiers et d’autre sur les ordi.
« Regardez ! dit l’un des soldat à l’ordi, j’ai trouvé un plan !
-AH ! Super ! Imprime-le.
-J’aimerais bien mais il n’y a pas d’imprimante ! Passez-moi des feuilles que je marque la direction à prendre pour la salle d’arme et pour le labo. »
Il écrit plusieurs direction déférentes, puis s’en allèrent.
Plus tard :
« Bon, où on va maintenant ?
-IL faut aller à droite, non, à gauche ! Attend-voir…
-Bon alors, ou il faut aller ?
-J’arrive pas à me relire.
-Mais bordel ! T’es même pas cap d’écrire correctement ?! Comment on va faire maintenant ?
-Je crois que j’ai marqué à droite, allons-y. »
Encore Plus tard :
« Voilà ! Normalement, c’est là derrière cette porte. Et il ouvrit la porte.
-Espèce de crétin, on t’a pas demandé de trouver les toilette ! ON a plus qu’a faire demi-tour. C’était à gauche !
Encore encore plus tard (je sais que vous en avez marre des « encore plus tard » mais je peut pas m’en passer !) :
« Cette fois-ci c’est la bonne !
-Il y a intérêt ! » IL ouvrit la porte et une créature leur tombas dessus.
« Un monstre !
-Mais non, c’est une créature ! Et puis t’inquiète pas, tu as ta combinaison ! De toute façon elle est morte.
-Oui, mais pas les autres !
-Merde ! Et ils sont armés en plus !
-Faite gaffe à pas tout faire peter, il y a des grenades dedans.
-Je sais ce qu’on va faire. Tu vas passer devant et leur dire naporte quoi jusqu’à ce qu’ils te poursuivre. Des qu’on les vois on leur tirent dessus.
-OK ! »Le soldat approcha doucement de l’entré et dit :
« Alors bande de connard, ça vous dirait un hamburger avec des frites ? mais les créatures ne bougèrent pas d’un poile. Et ! Regardez-moi quand je vous parle ! Regarde-moi enfoiré ! et il donna un coup de poing à une créature qui poussa un cri bizarre et voulu attraper le soldat qui partit en courant suivit du troupeau de créatures.
« Au secours !
-Baisse-toi ! cria John » Le soldat se baissa et les autres tirèrent sur les créatures qui tombèrent et retombèrent derrière le soldat qui rampait pour rejoindre les autres.
« C’est bon, tu peut te relever. dit John, prenez les munitions et armes qu’il vous faut et continuons. J’espère que tu vas pouvoir te relire pour qu’on puisse trouver le labo sans essayer 36 chemins.
-Oui, là c’est bien claire sur tout le parcours.
-OK ! Allons-y. »
Après 20 minutes de marche, les soldats se demandèrent pourquoi il n’y avaient aucun créature :
« C’est vrai ça, pourquoi y a plus de créature ?
-Peut-être qu’elles sont caché quelque part et qu’elles bientôt nous sauter dessus !
-Ou alors ils ont peur de nous !
-J’aimerais bien !
-Voilà, on devrait être au labo en ouvrant cette porte. Dit le soldat qui avait le plan en désignant une porte.
-Vous pariez combien qu’il y a 3 tonnes de créatures derrière cette porte ?
-Moi, j’dit qu’il y a même pas de labo derrière cette porte.
-On verra bien si on l’ouvre ! Qui se porte volontaire ?
-Pas moi !
-Moi non-plus !
-J’ai pas envie !
-Fait-le toi-même !
-Bon d’accord, c’est moi qui l’ouvre ! »
Le soldat s’approcha de la porte et l’ouvrit.
« Apparemment, c’est un simple labo sans personne.
-Ta gueule !
-Vous êtes vraiment chian à toujours vous chamailler ! répliqua John, allez on entre. Sécurisé la salle pendant que le scientifique fait son boulot. » Les soldats et le scientifique se mirent au travaille tout de suite.
« Il y a tous ce qu’il me faut ici !
-Vous avez la bombe ?
-Non, mais j’ai ce qu’il faut pour mettre le produit dedans !
-OK ! Dite-moi quand vous serez prêt. »
Quelques instants plus tard :
« Ca y est ! Je suis prêt !
-Caporal ! Regroupez les soldats ici !
-Ouais chef ! »
Une fois les soldats rassemblé :
« Eh, toi, avec ta carte !
-Oui ?
-T’as écrit ou se trouvait la salle où sont gradées les bombes ?
-Ouai, c’est à côté de la piste de décollage.
-OK, on y va !
-Je vous guide ! » Mais au moment où il ouvrit la porte, un troupeau (c’est comme ça qu’ils les appelaient maintenant) s’arrêta devant la porte. Les soldats restèrent bouchebé tendit que le troupeau de créature continuait d’avancer.
« Y serait peut-être temps de tirer non ? » Les soldats foncèrent sur les créatures en tirant et en hurlant comme des malades. Même le scientifique qui ne savaient pas viser arrivait à toucher 1 ou 2 créatures.
Les créatures arrivaient de partout pendant que le groupe courait à travers les couloirs écoutant les instructions que hurlait le soldat à la carte. Enfin, ils arrièrent à la sortit.
« Bloquer les portes ! Prenez n’importe quoi, des barres de fer, des batons, tous ce que vous voulez mais bloquez-moi ces portes !
-J’ai trouvé une barre, elle est lourde ! Aidez-moi à la porter ! » Ils coincèrent la longue barre dans les poignées pendant que les autre gardaient les portes fermées.
« Ouf ! C’était chaud !
-Ca tu peut le dire ! Devinez ce que j’ai fais ? J’ai déposé 2 explosifs avant de sortir, et j’ai le détonateur !
-Il t’en reste au moins ?
-Il m’en reste encore 3 que j’ai pris dans l’armurie. J’appuis ! » Il appuyât sur le détonateur et le hall du bâtiment explosa, ce qui fit voler en éclat des bout de vers et de créatures.
« Créatures haché menu !
-Pas le moment de rire, il y en a peut-être d’autre qui vont se ramener.
-Suivez-moi, c’est par là. »
Ils arrivèrent devant une bouble porte blindée.
« Et merde ! On va devoir encore utiliser des explosifs !
-Attend-voir… le soldat s’approcha de la porte et l’ouvrit. Pourquoi vous voulez toujours vous compliquez la vie ?
-Je pouvais pas savoir qu’un porte blindée pouvait être bêtement ouverte !
-C’est vrai que c’est bizarre, dit John
-On a qu’a entrer, on verra bien ! »
Les soldats entrèrent doucement.
« Y a que des petites bombes ! C’est de la merde !
-Tu rigole ?! Ces trucs, c’est grave puissant ! dit le scientifique, je vais tout préparez, pendant ce temps-là, protégez les alentours.
-Attendez. Pour les lancer, il faut un bombardier !
-Oui. Il en faut un gros ! Mais réfléchissez parce que une fois que les bombes auront exploser, vous risqué de crever avec !
-Pour ce problème, j’ai une solution ! On pourrait prendre des navettes, il y en a surment ici, mais le problème, c’est que nous ne pourrons pas en larguer beaucoup. Surtout si on veut décontaminer toute la terre !
-On arrivera jamais à décontaminer toute la terre. Dit la scientifique, mais nous pouvons faire une partit.
-Ensuite nous partons avec la navette vers la planète colonisée la plus proche et ont se ramène avec toute une armée ! On a qu’a faire 2 groupe, 1 avec Homer qui reste avec le scientifique pour le protéger et l’autre qui vient avec moi pour trouver, sécuriser et préparer les navettes. Tenez, voici un tokiyolki pour rester en communication.
-OK, allez-y je m’occupe des bombes. »
Le groupe de John essaya plusieurs hangar, pour trouver les navettes.
« J’en ai marre, ça fait 3 hangars qu’on visite et on est tombé que sur des créatures débiles !
-Patience ! Regarde, en voilà un autre ! » Ils entrèrent dans un autre hangar.
« Ben les voilà nos navettes ! dit un soldat
-Très bien, au travaille ! On va préparer ces navettes. Ici le groupe de John, vous me recevez ?
-Ici le scientifique, je vous reçois 5/5.
-Nous avons trouvé les navettes !
-Très bien, moi j’apporterais les bombes dès que j’aurais finit. Terminé.
-Allez au travaille les autres, on a pas de temps à perdre ! »
Quelques minutes plus tard :
« JOHN ! Nous sommes en route et sommes poursuivit par des créatures ! Préparez-vous !
-Bien reçu ! EH, les autre, descendez de vos appareilles, les autres ont des ennuis et ils se ramènent avec des créatures à leur trousse !
-OK ! On arrive ! »
John regarda dehors et les vit arriver sur des petites voitures faites pour transporter les bombes, les soldats tirant derrière eux sur les créatures qui devaient être une vingtaine.
« Préparez-vous à tirer, dit John. Dès qu’ils sont passé, on dégomme les créatures.
-OK.
-Près…Tirez ! »La voiture venait de passer et les soldats qui étaient dedans sautèrent et aidèrent les autres à dégommer les créatures. Une fois cela fait, John dit :
« Bon allez, installez les bombes dans les navettes et vérifiez qu’elles démarrent. »
-C’est bon j’ai déjà vérifier !
-OK ! Alors installez les bombes. Les soldats se mirent au travaille.
-J’ai tout planifier, dit le scientifique. Les 2 navettes vont décoller et arrivées à une certain altitude et là vous larguerez les bombes.
-Et ensuite, demanda Homer
-Ensuite, on file vers une autre planète !
-Ca y est, chef ! Les bombes sont prêtes !
-OK ! C’est le moment pour embarquer ! Le scientifique vient avec moi, toi Homer tu vas dans l’autre navette. Les autres, vous vous répartissez dans les deux navettes ! »
Les navettes sortirent une par une guidées par deux soldats, vers la piste de décollage.
Groupe de John dans la navette :
« Vous êtes prêt à décoller navette B ?
-Oui navette A !
-OK, alors décollage ! »
La navette A commença à accélérer, mais dans la navette B :
« Les moteurs ne veulent pas démarrer !
-Merde !
-Je vais aller voir d’où vient le problème
-Ouais, ben dépêche-toi ! »
Il revint 2 minutes plus tard.
« Voilà, ça devrait marcher !
-C’est bon, il démarre. Et la navette décolla derrière l’autre. Est-ce que tu as vérifier le système de largage de bombe avant de partir ?
-Non, répondit le copilote.
-Dans ce cas prions pour que ça marche ! »
Pendant ce temps-là, le scientifique qui n’avait pas voulu monter parce qu’il avait peur des avions était dans la base en train d’établir la liaison radio pour leur parler :
« Allo ? Allo ? Navette A vous me recevez ? Ici la base.
-Ici Navette A, nous vous recevons 5/5, Tout ce passe bien, nous sommes en route vers le point de rendez-vous.
-Très bien, transmission terminée. Navette B, vous m’entendez ?
-Nous vous recevons !
-Tout ce passe bien ?
-Oui, mais on a oublié de vérifier le système de largage de bombes.
-A ben c’est malin ça, et Homer, il n’y a pas pensé ?
-Ben depuis qu’il a trouvé la bouteille de Cognac, il dit que des conneries !
-Super, on est bien partit ! Vérifier si le voillant avec des bombes dessinées dessus est allumé ?
-NON.
-Il doit y avoir un problème au niveau du système mécanique de largage des bombes. Combien de temps vous reste-il avant le point de rendez-vous ?
-2 Minutes.
-Vous êtes dans la merde. Alors grouillez-vous ! »
Les deux pilotes sortirent du cockpit quand un autre soldat leur demanda :
« J’ai entendu pour le problème, mais vous avez mi le pilotage automatique au moins ?
-Zut, j’ai oublié ! J’y vais tout de suite. » Il alla mettre le pilote automatique, revint puis descendit avec l’autre dans les entrailles de l’appareille.
« Regarde les crochet qui retiennent la bombe, ils n’ont pas l’air d’avoir de problèmes.
-Ca doit être ailleurs, il consultas sa montre, et il ne nous reste qu’un minute !
-On doit trouver une solution.
-J’en ai une ! On pourrait tirer sur les crochets et …
-Tu as vu la taille de ces crochets, on aura pas le temps.
-Attend, regarde ! Il y a un bouton pour ouvrir la trappe.
-Ouais mais on risque de se faire aspirer quand ça s’ouvrira.
-Plus que 30 secondes ! UNE SOLUTION, UNE SOLUTION VITE !
-J’en ai une. » Il poussa le soldat et referma la porte à clé derrière lui. Il regarda sa montre : 5, 4, 3, 2, 1, et lorsqu’il ouvrit la trappe et que les crochets lâchèrent la bombe, il fut aspirer avec une tel force que ses mains lâchèrent la barre de métal qu’il tenait.

spartan_108 Mar 15 Jan - 22:38

Chapitre 11 : La Fin

« ICI la base, vous me recevez ?
-ICI la Navette A, le largage c’est bien passé, l’explosion ne devrait pas tarder.
-Très bien Navette A, terminé. ICI la base, Navette B, vous me recevez ?
-ICI la navette B, nous vous recevons.
-Vous avez réglé le problème ?
-Oui, en quelque sorte. On a perdu un homme. » Et il lui expliqua toute l’histoire ainsi qu’à la Navette A en même temps.
« C’est tragique, dit le scientifique
-Moi, j’en ai rien à foutre, dit l’un des soldat de la Navette A
-Bon, ben je crois que je vais pouvoir vous dire au revoir… »
Dans la Navette A :
« La communication à du être coupé à cause de la bombe. On a plus qu’a partir maintenant ! Il faut transférer les nouvelles coordonnées à l’autre vaisseau et essayer de contacter la planète la plus proche.
Un peu plus tard :
« ICI la planète REICH, à vous.
-ICI les 2 Navettes rescapées en provenance de la terre, Nous devrions arriver dans environ une journée.
-Très bien Navettes rescapées, nous préparerons votre arrivée, en attendant nous allons vous passer nos coordonnées.
-Chef, je crois que j’ai fais une bêtise ! J’ai appuyé sur le bouton d’autodestruction de la Navette !
-Mais quel boulet ! Et ben rapuis dessus pour le désactiver !
-D’accord, répondit le soldat
-Chef, y m’embête !

Rendez-vous pour un nouveau Tome avec la même troupe de militaire débiles, et des aventures débile ainsi que des créatures tout aussi monstrueusement débiles.
A bientôt pour Virus 2 (Le retour)

Et voilà pour le tome 1 ! Very Happy